Une chose est certaine, ce blog est en train de péricliter, de s’assécher comme un vieux cactus qui n’aurait pas vu la pluie depuis que l’homme a marché sous la lune. Il lui faut un traitement de choc, quelque chose qui le réveille et mette du piquant dans sa vie, quelque chose qui soit moteur de son élan, quelques mots griffonnés sur du acid-free paper, un symbole cabalistique à placer sur le frontispice… Allez, c’est reparti.
Israel philatelic Federation
Une collection superbe. Israel philatelic Federation.
Retrouvailles
Etrange coïcidence, je viens de retrouver <a href="http://www generic viagra belgique.routard.com/mag_dossiers/id_dm/5/ordre/3.htm”>Anatomie de l’errance de Bruce Chatwin.
C’est étrange non ? Juste à côté, il y avait deux Corto Maltese. Vraiment étrange.
Tanka #1
Au-dessous des yeux,
Près de son corps enflammé,
Et loin devant lui
Quelque chose qui s’évapore
Comme une larme d’été
Ce qui fait Ryôan-ji
C’est un fait admis, le jardin de pierres de Ryôan-ji est considéré comme le plus beau, le plus grand jardin zen du monde asiatique. Toutefois, son exposition, le fait de son incroyable renommée et qu’il ne puisse être admiré que derrière une vitre qui doit agréger les miasmes du monde entier, cet ensemble a de quoi parasiter la beauté du lieu et sa symbolique toute puissante.
Ce jardin recèle en lui tellement de puissance dans sa représentation de l’harmonie naturelle que sa signification en reste presque inatteignable, si toutefois il y a quelque chose de plus à comprendre que le simple fait qu’il représente la nature. Ryôan-ji toutefois comporte une petite surprise ; en effet, ce sont en tout quinze pierres disséminées dans le jardin, mais d’où que l’on se place, on n’en voit toujours que… quatorze. Une parabole efficace sur la vérité ?
50%
Deux billets dans la semaine, le second a été bouffé par la machine suite à une mauvaise manipulation prix du viagra 100mg. Vachement motivant. Je vais aller me coucher tiens.
Esperluette
C’est un signe qu’on a longtemps ignoré en France car on l’a souvent collé à la culture anglo-saxonne. Pourtant, l’esperluette ou ampersand en anglais, porte un nom autrement plus sympatique et poétique que “et commercial” et c’est un des caractères typographiques qu’on rencontre le plus souvent dans les annonces publicitaires, affiches et autres calicots…
Et l’esperluette a son propre blog… Ampersand. Une drôle de bonne idée.
L'âge d'or de la publicité
Auparavant, la publicité ne s’appelait pas ainsi mais « réclame ». Il y avait dans ce terme, quelque chose de moins public, et par voie de conséquence, plus d’agressivité. L’art de la réclame est très en vogue et Flickr devient alors un terrain de jeu extraordinaire pour les amateurs de ces anciennes affiches qui font souvent sourire, comme celle-ci où l’on voit Santa Claus apporter une cartouche de Camel, ou certaines autres qui ont plus l’air de photo S&M qu’autre chose.
Il y en a pour tous les goûts: Mode, Produits de beauté des années 60, Hygiène, celui on va l’appeler Vins & Spiritueux, Cigarettes, Electroménager (I love my electric appliance uhuhu), Entretien, Alimentation, Affiches publicitaires et Golden Age of Advertising: 1950s – 1970s.
Via Diskurdisko.
La douce géométrie des villes
L’art imite la nature, dit-on. L’urbanisme parfois, flirte avec l’art, même si sous “art” on peut entendre beaucoup de choses. Ce que vous allez voir fait peur car c’est la limite (actuelle) de ce que l’Homme est capable de faire en matière d’urbanisme (mis à part bien évidemment les Palm Island du Koweit).
Les communautés circulaires et l’incroyable géométrie de Nezahualcoyotl sur DeputyDog.
Layers & symmetry
When i’m obsessing on lines and symmetry.
Chris Brennan sur unaesthetic.net.