Meta brindilles VI

marsh cashman koolloos architects

Marsh Cashman Koolloos Architects, ce ne sont plus des inconnus pour moi. Je connaissais cette superbe maison Whitworth avec sa piscine en longueur qui traverse la maison qui a cette particularité d’être construite autour d’une bibliothèque consacrée à l’architecture contemporaine. On retrouve également ce concept dans une autre maison, celle de Craven Road à Toronto. Trouvé chez Rouge, le superbe rouge. A découvrir également, les oeuvres de Keisuke Maeda et le site qui va avec.

microhomes

Sur BusinessWeek, je découvre le concept de microhomes, de toutes petites unités de vie de 27m² destinées aux étudiants. Une vision de l’habitat adaptée au coüt de la vie et à l’espace des grandes villes japonaises et une organisation de l’espace optimisée pour cette population particulière que sont les nomades urbains. J’y reviendrai plus tard en parlant de la maison Aura, puisqu’elle est basée sur ce principe d’infonctionnalité optimale.
Via JeanSnow.

Dans la catégorie vintage, une collection de souris à travers les âges (récents). Via Core77.

Fix Ortho, via A Daily Dose of Architecture.

Atelier Bow-Wow – Tower House, Japon sur Flickr. Le concept de la maison verticale.

Casamania

Alexander Gorlin Architects

CHK par LOT-EK ou l'art d'habiter un container

L’architecture, ce n’est pas simplement la beauté des formes, le grandiose et l’élégant, c’est également l’ingéniosité, la réponse à des problématiques sociales constituées par des questions de coût de construction ou d’espace.
Aussi, lorsque des architectes prennent les problèmes à bras le corps, ils dégotent parfois des trésors d’inventivité – malheureusement trop peu suivis dans leur développement. C’est dans cette perspective de détournement, de reconversion et d’habitabilité que le cabinet LOT-EK a conçu un habitat constitué de containers empilés, formant un ensemble d’une modularité exemplaire.
Alors si l’idée parait saugrenue a priori, c’est le moment d’aller faire un tour sur ce site (en cliquant à gauche dans LOT-EK Buildings > CHK Container Home Kit et de découvrir ce qu’on peut faire avec des idées et quelques bouts de ferraille. A méditer sérieusement.

CHK LOT-EK container

Evidemment, ce site est d’une richesse incroyable, à ne pas manquer.
Via Noticias Arquitectura.

Pulse

Loin d’être calme, je vis chaque moment à toute vitesse, la tête en ébullition… Je n’arrive pas à me concentrer, je carbure au café quinze heures par jour, je commence à m’organiser dans tous les sens, je classe mes affaires, je repère où chaque chose se trouve et je me construis des espaces de rangement strictement virtuels.

En fait, je lis beaucoup de choses, à droite et à gauche, je fais ce qu’il ne faut pas faire, je compare mon écriture à ce qu’ont fait les autres avant moi. Je suis seul dans ce que je fais, je n’ai personne pour me seconder, pas de secrétaire, pas de nègre, je suis tout seul avec mon clavier, mes carnets et mes stylos… Je me rends compte au fur et à mesure que je trouve moi-même les réponses à mes questions sur le fait d’écrire en lisant et relisant ce que j’ai fait dans chacun de mes univers. J’y vois des imbrications, un immense jeu de lego qui se met en place. Et j’adore ça, je suis incroyablement excité (je sais, c’est un peu tout le temps) et je commence à avoir de l’espoir. J’entrevois clairement la possibilité d’écrire plus, mieux, de manière quasiment militaire, et je le fais.

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Tu sens les pulsations ? Tu sens comme ça bouge ? Hmmm… Je ne compte plus les fois où je me suis lamenté sur ma paresse et mon manque de volonté, mais tout ça semble être du passé, depuis quelques temps déjà. Je me sens comme un adolescent au purgatoire… Mêmes émois… Aujourd’hui, il est temps de se mettre en route, à l’ancienne, comme au temps où l’on partait sur les routes désertiques avec une grande bagnole avec une seule banquette à l’avant… Un parfum de désert, une traversée des grands espaces que je ne pensais plus possible…

C’est certain qu’Amiens n’est pas le désert, quoique c’est une ville en plein milieu des champs. J’aime me lancer sur cette autoroute A16, alors que le soir est tombé, que le brouillard fin enveloppe la campagne. La vitesse est grisante, il n’y a pas grand monde; je colle mes mains sur le volant, je m’enfonce dans mon siège et j’écrase le champignon pour faire des accélérations spectaculaires qui ne font rire que moi. Le moment de folie passé, je roule tranquillement en regardant l’horizon, en m’imaginant au volant d’une Chevrolet Impala sillonnant le routes de l’Iowa, mais bien vite, je vois des champs de betteraves à perte de vue et je suis au volant d’une 206 qui sent encore l’usine.

Et c’est soudain; c’est le drame. J’ai dû pêcher dans une autre vie, faire beaucoup de mal à des gens très bien, tuer des animaux. Bref, mauvais karma.

Je n’ai même pas parlé des livres que j’ai lu ces derniers temps, ce documentaire bouleversant de John Hersey sur Hiroshima, ce livre divertissant et parfois rude d’Augusten Burroughs, Courir avec des ciseaux, et tous ceux que j’ai entâmé ou entassé sur la tablette qui me sert de table de chevet. J’avais envie de passer à autre chose. Tout à coup, Kerouac, Bukowski, les auteurs japonais, John Fante, mes livres d’architecture, Henry Miller (c’est très californien tout ça), tous ceux qui m’accompagnent d’ordinaire m’ont paru dramatique, trop peu en phase avec la légèreté dont j’avais besoin ces derniers temps. Alors j’ai fait quelque chose que je ne croyais plus possible depuis bien longtemps; lire une oeuvre du XVIIè siècle d’un ecclésiastique britannique. Présentées comme ça, les choses manquent de piquant, c’est certain. J’avais essayé de me plonger dans une matinée d’amour pur de Yukio Mishima (ce nom résonne avec une certaine poésie à mes oreilles, plus que son vrai nom, Kimitake Hiraoka), mais les nouvelles m’ennuient pour le moment. C’est donc avec une certaine joie que je me suis permis de reprendre une lecture qui devait dater d’au moins sept ou huit ans : The Life and Opinions of Tristram Shandy, Gentleman de Laurence Sterne, volume 1. C’est un texte étonnant, mais j’en ai encore lu trop peu pour pouvoir disserter dessus. La moitié du livre est consacré aux notes de Guy Jouvet, traducteur génialissime qui a su respecter les caprices typographiques de l’auteur. J’aime ces livres savants qui digressent à l’infini et finissent par nous emporter dans un labyrinthe sans fin de connaissances, un peu à la manière des écrits conjoints de Gilles Deleuze et Felix Guattari. Par exemple, j’ai appris hier soir qu’il existait, selon Ambroise Paré, trois niveaux corporels des esprits, mais évidemment, l’intérêt universel de la chose sur ce blog reste somme toute assez limité. Cette lecture est incroyable, impertinente, drôle, terriblement érudite, annotée de citations de Montaigne, La Bruyère et dirigée par les opinions mêmes du traducteur / commentateur.

Il faudrait aussi se replonger dans un livre que j’ai dévoré autrefois pendant mes études, Principes fondamentaux de l’histoire de l’art : Le problème de l’évolution du style dans l’art moderne de Heinrich Wölfflin. Alors oui, ça parait pédant de placer ça dans une conversation entre le fromage et le dessert, ou alors (et attention, c’est du vécu) au square en rencontrant un couple autrefois ami, poussette et chien en laisse à la clef (Elle dit: je suis désolée, je ne vous invite pas à manger en ce moment, on est plein dans les cartons. Ce que à quoi j’ai répondu intérieurement: “Merci de tout coeur !” Elle reprend: “Mais on peut toujours aller se faire une balade au parc ?” et moi de penser “C’est ça ouais, compte là-dessus, plutôt crever d’une chaude-pisse”), mais au bout du compte, ce livre est très facile à lire et apprend les différences fondamentales entre le style classique et le baroque, dans la courte évolution qui a fait basculer l’un dans l’autre. Non ? Toujours pas convaincu ? Alors on y comprend mieux comment Titien (Bon dieu, il s’appelle Tiziano Vecceli non ? On ne peut pas lui foutre la paix en l’appelant par son vrai nom ?) a révolutionné l’art en son temps. Je n’essaie pas de vous convaincre, je parle en l’air, c’est tout. Et puis lisez aussi Elie Faure et Ernst Gombrich, ça ne peut que faire du bien…

Euh… J’ai parlé du livre de Régis Debray (pauvre homme affublé d’un prénom aussi ridicule, que Dieu pardonne ses parents) Vie et mort de l’¢image. Une histoire du regard en Occident ? Non alors j’en touche deux mots. Ce livre est en fait sa thèse de doctorat, dirigée par François Dagognet, celui-là même qui a fait sa carrière sur les détritus et les sécrétions corporelles (comprenne qui pourra). Et… c’est tout. On ne badine pas avec les grandes oeuvres – avec l’amour non plus.

J’aurais aimé… être… architecte. J’aurais pu si j’avais travaillé.
J’aurais aimé… être… journaliste. Je n’ai jamais essayé.
Et si finalement je devenais écrivain? (dis-je en pouffant).

Ce ne sont pas les choses elles-mêmes qui tourmentent les hommes, mais les opinions qu’ils forment sur les choses.
Epictète, Encheiridion

J’ai une mémoire prodigieuse pour certaines choses, c’est déjà ça non ? Comme chacune des notes de la Marche Funèbre pour la Reine Mary, d’Henry Purcell… – je suis incapable de me souvenir de ce que j’ai fait hier, mais la partition, ça oui, c’est comme si elle était imprimée sur ma rétine – Montez le son, et je vous demande un peu de recueillement pour cette pauvre Mary qui repose par six pieds sous la terre d’Albion – on parle bien de la Reine d’Angleterre, pas du RMS, le paquebot, on est d’accord ?

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Queen Mary

Comme pour faire contraste avec le superbe portrait de Mary, je pense tout à coup à la grossièreté, dans ce qu’elle a de plus global. A ces mots que je prononce parfois au grand désespoir des gens que je côtoie, à ces textes que je me refuse de censurer parce qu’ils sont ce qu’ils doivent être au moment où je les écris, à toutes ces choses que la morale réprouve. Il me semble qu’on peut tout à fait se gratter les couilles en public, le tout étant de le faire avec élégance. La grossièreté ne trouve de sens que si elle est accompagné de son corrélaire, l’élégance. En disant cela, je pense à la dernière publicité Chanel, pour un rouge à lèvre. On y voit une blonde qui est à mon sens censée représenter le désir, la chair, l’envie, mais le problème c’est que cette poupée donne l’effet totalement opposé. Elle est d’un vulgaire affligeant, on croirait voir un pute fraichement débarquée d’Ukraine, tout ce qu’il y a de plus vulgaire et de repoussant chez la pétasse de luxe. Alors oui, je préfère me gratter les couilles en public avec mon charme habituel plutôt que de subir les charmes éventés d’une catin du port de Hambourg essayant de provoquer en moi des émois sexuels en trémoussant son cul enturbanné avec des lèvres qui me rappellent une danseuse de peep-show dans une rue commerçante de Copenhague (les voyages forment la jeunesse parait-il). Où se trouve la grossièreté ? Dans les mots de Bukowski ou dans les images surfaites d’une publicité pour un rouge à lèvres ? Ou encore dans les mots de cette épitaphe qui ornera ma tombe ?…

Je vous emmerde… Et vous me le rendez bien.

Ceci ne s’adresse pas forcément qu’aux lecteurs du Parisien (bon dieu que ce journal est minable, l’expression même de la vulgarité – encore – d’un certain lectorat)… Je suis de retour, c’est indiscutable (pas de fausse modestie), avec mes stylos Pilot Tech-Point V7, mon envie de crustacés, mes mains et mes doigts dans lesquels on peut voir, selon la lumière, soit la main câleuse du scribe ou la main délicate de l’intellectuel – merde, ce ne sont que des mains après tout – et puis mon irrésistible envie d’être tout pour quelqu’un. Dans ma réclusion, je souffre de la solitude de celui qui désormais ne va faire qu’attendre. Et Dieu sait que je peux être patient pour ce genre de chose, même si ça me ronge les chairs.

[audio:http://theswedishparrot.com/ftp/Bee%20Gees%20-%20Saturday%20Night%20Fever%20-%20Disco%20Inferno.mp3]

Je vais ressortir mes pinceaux, mes carnets et je vais me remettre à peindre avec cette technique si particulière qui consiste à peindre avec du thé. Avec ce soleil, quelques idées en tête, je rêve de navires et de marées lointaines…

Repartir vers le large…

Netherlands Institute For Sound And Vision, Hilversum

Les Hollandais osent. Lorsqu’il leur vient une idée délirante, ils font appel à des visionnaires, à des génies, à des personnes qui se montrent inventives et se donnent les moyens de faire ce qu’ils veulent. C’est dans cette optique qu’a été construit le Netherlands Institute For Sound And Vision, équivalent de l’INA.
Sa grande originalité, mis à part une architecture incroyablement inventive dans les intérieurs et son aspect faisant penser à une grande cathédrale dédiée au Dieu Télévision, c’est cette incroyable façade, ayant également par son aspect quelques similitudes avec une immense construction vitraillée. C’est le designer graphique Jaap Drupsteen qui a composé cette immense mosaïque de verre avec des images floutées de la télévision néerlandaise, donnant une incroyable impression de légèreté à l’ensemble, construit sur des pieds de béton et l’étrange sensation que le bâtiment est comme mu par une force lui conférant vitesse et mouvement.

Netherlands Institute For Sound And Vision

De superbes photos signées Iwan Baan sur Plataforma Arquitectura.
Une réalisation des architectes de Neutelings Riedijk.

Tezuka

Takaharu Tezuka est né en 1964 à Tokyo et Yui Tezuka est né en 1969 à Kanagawa. Ensemble, depuis 1995, ils révolutionnent l’architecture en construisant des maisons ou des immeubles comme des objets, comme des boîtes à chaussure dont certains pans sont complètement amovibles comme dans la Sandou ou la Eaves. Adeptes du porte-à-faux et des espaces libérés, ils font partie de ces architectes qui n’hésitent pas à se jouer des habitudes. La Jyubako est à mon sens l’exemple le plus frappant.

Tezuka

Un grand merci à Carlo Vuijlsteke de Rouge blog qui m’a fait découvrir ces architectes et pour m’avoir fait entrer dans sa liste de blog à haute teneur en inspiration.

Quality spirit

Ces derniers jours, je me suis aperçu qu’on parlait de moi, enfin non, de mon blog avec une attention toute particulière. En effet, j’ai découvert avec stupéfaction que le blog Arkinetia, dont je parle beaucoup en ce moment, avait rédigé un billet uniquement destiné à présenter mon blog. Pour ceux qui ne connaissent pas, Arkinetia, c’est ça:

Arkinetia es una publicación de Grupo ASDSC , España, desarrollada y editada por un equipo de profesionales radicados en cuatro ciudades de España y Argentina: Zaragoza y Vitoria-Gasteiz en España; Tandil y San Carlos de Bolívar en Argentina..

Autant dire que je suis tombé de ma chaise, me rendant compte que pour une fois, j’avais réussi quelque chose. Ce blog, orienté architecture et design et très connu dans ce domaine et particulièrement dans le monde hispanophone, parle de mon petit blog (6 souscriptions Bloglines, 2000 visites par jour) en de terme élogieux. Après un échange de mails avec Martin Ferrer, qui avoue me lire avec attention, je me sens tout à coup gonflé à bloc.

D’aucun se demanderont certainement pourquoi je me suis mis soudain à parler d’architecture et de design. En réalité, je m’intéresse à l’architecture depuis longtemps, à tel point que j’ai sans doute évoquer la possibilité un jour d’en faire mon métier, sans y croire réellement. Dans la section artistique du lycée, j’appréciais plus les cours d’histoire de l’art que les cours de dessin, et ma curiosité m’a permis de très bien m’en sortir avec ce mémorable 16 au bac pour l’épreuve d’histoire de l’art (quand on sait que j’ai eu 2 en histoire-géo et pas mieux en philo, je me demande encore comment j’ai réussi à avoir mon bac, surtout quand j’ai sorti à l’examinatrice du rattrapage qu’en 1945, le président de la république était de Gaulle, ce dont à vrai dire, je me contre-tapais royalement – depuis, j’ai fait des progrès). Le sujet portait sur l’architecture contemporaine, et j’ai réellement pris mon pied à rédiger ma copie.

Aujourd’hui, l’étude de l’architecture est pour moi une source de repos, un calmant pour l’esprit, une sorte de niche zen, dans laquelle j’éprouve beaucoup de plaisir. Je compte d’ailleurs très prochainement faire l’exposé de ma conception des choses sur ce blog et en faire profiter ceux que ça intéresse.

Il y a quelques jours, j’écrivais ces quelques lignes sur mon journal:

J’EXIGE D’ÊTRE UN PRODUIT MARKETING, JE VEUX ÊTRE UN PAQUET DE SOUPE DESHYDRATEE !

En réalité, ce n’est pas tout à fait vrai. Ce que je fais en ce moment, ce n’est ni plus ni moins que du marketing, du buzz, dont je ne tire strictement aucun bénéfice puisque je ne touche aucune commission, je ne tire aucun bénéfice sur les ventes de ce que je vends. Même si occasionnellement, j’ai eu l’occasion de travailler pour Tribeca et Buzz Paradise, je n’en ai tiré que la fréquentation supplémentaire, valeur ajoutée considérable. Car oui, je vends, au sens où je parcours les sillons du web et je fais partager cette connaissance, et grossièrement, je le vends, je vends de la culture et de la connaissance et j’adore ça.

Pour m’appliquer à le faire du mieux possible, je mets un point d’honneur à construire mes billets de manière rigoureuse, en appliquant de vieilles méthodes propres à l’architecture (oui, encore) de l’information. Chaque billet, en fonction du thème traité, répond à des critères implicites de mise en valeur, que ce soit par l’image, par l’efficacité des liens proposés et la construction quasi-journalistique des articles, composés de manière synthétique.

Aussi, j’ai de plus en plus de mal à comprendre pourquoi mon inscription auprès de French 2.0 (blogs Français de qualité… de qualité de quoi, on ne sait pas) n’a pas généré mon inclusion à l’annuaire puisque je pensais répondre aux critères de sélection ; le fait de ne pas faire partie de la liste ne me chagrine pas plus que ça et je ne participerai pas à la seconde vague d’inscriptions. Il faut croire que je ne dois pas suffisamment penser web 2.0. Pendant ce temps, Arkinetia me fait vibrer en me faisant entrer dans la cour des grands.

Multilog

On ne le sait peut-être pas, mais la tendance est à la réduction de l’espace et à la simplification de l’habitat.

mhch.jpg

Un univers envoûtant, celui des ruines fictives de mondes fictifs. Trouvé sur BLDGBLOG.

fictional-ruins-from-fictional-worlds

L’architecture très spontanée et volontairement déconstruite de Siteenvirodesign pour Best. Via Andreas Angelidakis.

best

Havaleena, un bouquet de lampes très design, très reposant, par Tayo, via MoCo Loco.

havaleena

Le repli

J’ai les yeux qui se ferment au contact de la lumière.

En rentrant, j’ai pris un bouquin et je me suis enfermé dans les toilettes, toute une architecture tendue vers les abysses.

J’étais bien, au calme dans l’atmosphère enfumée…

Et je pense m’être endormi.