Voici quatre templates de feuilles de Moleskine prêts à l’usage. Inutile de dire les multiples possibilités que ça ouvre.
Chez Bibliophile Bullpen, via Moleskinerie.
Coquille vide faite de souvenirs
Voici quatre templates de feuilles de Moleskine prêts à l’usage. Inutile de dire les multiples possibilités que ça ouvre.
Chez Bibliophile Bullpen, via Moleskinerie.
Mon journal, version papier. Des pages manuscrites, scannées, si le coeur vous en dit…
Apparaissent des images au beau milieu du texte, comme des traces d’une vie passagère. Le journal devient lieu de vie, d’interrogations quotidiennes, et aussi de mésententes cordiales. Un lieu qui prend forme et qui s’inscrit désormais dans un vrai projet d’écriture et qui se verra augmenté de diverses choses encore à l’état embryonnaire.
Un journal lyrique.
Lorsqu’une grande marque de logiciel s’allie avec un fabricant (ex-) artisanal de carnets*, on se demande a priori quel est le rapport. A posteriori aussi d’ailleurs, d’autant plus que d’après ce qu’on en sait, ces carnets ont été distribués à une poignée de VIP pour le lancement d’Adode CS3 et qu’ils ne seront pas commercialisés.
Dommage, ils avaient de la gueule…
Via Moleskinerie.
* Moleskine est aujourd’hui une marque du groupe Société Générale.
Film parfaitement moyen, rythme particulièrement lent, prestations d’acteurs à peine passables, malgré une Meryl Streep grandiose comme toujours, j’ai tenté de rentrer à fond dans le film mais ce fut compliqué. Par contre, le personnage principal de ce film, Andrea, à plusieurs reprises, porte un petit accessoire qui a retenu mon attention.
Un moleskine !!! (Je signale cet excellent article sur Wikipedia puisqu’en l’occurrence, c’est moi qui suis l’auteur de la traduction – gnark).
Je suis généralement peu touché par les blogs tout en image mais celui-ci a des qualités graphiques rares et de diverses influences. Typographie, peinture, photo, dessin, Sparky Donatello est un artiste du blog complet et accessoirement utilisateur de Moleskine, prolifique et sensuel.
Un petit bout de mon univers sur papier… Je les ai tous rassemblé en un tas que moi-même je trouve impressionnant, et le pire, c’est que je les utilise tous.
De bas en haut ou selon l’ordre:
Et puis mes notes de lecture, pratique pour noter les références dans les livres que je lis, histoire de rassembler mes impressions du moment, des citations.
Parce que tout ceci ne peut pas se faire au même endroit.
Un sketchblog intermittent, comme l’auteure le dit elle-même, des dessins très sensibles, une collection de moleskines impressionnante, Martha est une habituée du croquis et de l’esquisse.
Un blog entier dédié aux Moleskine City Books vient d’ouvrir ses portes.
Paris figure en bonne place. Une manière originale de voyager au travers du carnet des autres.
Au fil de mes recherches récentes, j’ai emprunté à la bibliothèque Photographies et carnets de voyage de Bruce Chatwin, par David King et Francis Wyndham.
Mis à part de très beaux textes extraits des Moleskine de Bruce Chatwin sur ses Voyages en Mauritanie et en Afghanistan, entre autres on découvre de magnifiques photos des quatre coins du monde (Chatwin, ex-expert en art chez Sotheby’s, à la fois écrivain et photographe esthète) n’illustrant pas du tout le texte mais donnant à voir la vision du monde d’un personnage hors-norme de la littérature. On découvre des clichés d’une rigueur extrême. Armé de son Leica, on le découvre jaloux de ses photos, ne sortant son appareil que lorsqu’il se trouvait seul, shootant des portes et des toits de tôles ondulées, composant des clichés à la composition stricte, aux couleurs vives, témoins d’une époque ou d’une particularité régionale.
Au milieu de ce joyeux fatras jouissif, se trouve une photo qui a attiré mon attention. Il s’agit d’un toit de mausolée, passablement détruit. Il se trouve en fait que c’est le Mausolée de Gohar Shad, un chef d’oeuvre d’architecture musulmane datant du XVè siècle et d’une sobriété sans égale. Pas très loin de là se trouve également la grande mosquée, visible de loin avec son magnifique dôme bleu et ses dorures. Un sommet de l’abstraction en art, des couleurs chatoyantes, qui se passent de commentaires.
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