Passé, présent et avenir d'un nostalgique de Frank Zappa

Pour le passé : Terry Bozzio, batteur mythique de l’ami Frank, a intégré le Fantômas de Mike Patton pour la tournée d’été. Je l’ai vu au Bataclan. J’ai pu admirer sa technique : on ne peut pas dire que le répertoire fantomasien soit des plus simples pour un batteur/percussioniste, et il l’a très bien assimilé.

Pour l’avenir : Les fils de Zappa passent à Paris le 7 novembre, pour leur tournée Zappa plays Zappa. J’ai déjà ma place et j’attends de voir.

Pour le présent : je vais me réécouter 200 Motels, moi…

Prime Time

(Tatou entre sur le blog, sous les applaudissements de la foule en délire.)

TATOU (rayonnant, faisant un truc avec son micro du style Philippe Risoli) – HELLLOOOO PARISSSSSSS… et les autres.

(Rires enregistrés.)

TATOU – Aujourd’hui, je vais vous parler du reflux gastro-oesophagien.

(La foule hurle de contentement.)

TATOU (affichant un petit air sadique) – Tout d’abord, un peu de support visuel.

(Tatou met le doigt sur son oreillette, et prend un air sérieux.)

TATOU (sérieux) – Ah, on me souffle que je suis dans une émission grand public…

(Rires enregistrés.)

TATOU (refaisant un truc avec son micro) – Eh bien mesdames, mesdemoiselles (clins d’oeils) et messieurs, nous allons parler ce soir de l’effet de Lorie sur les ornithorynques à poils drus du Bostwana ! Nous serons de retour après une coupure de publicité !

(Le rideau tombe.)

Rentrée des artistes

Les parisiens ont de la chance. La saison 2005-2006 de Radio France propose un joli pogramme : deux cycles russes (Tchaïkovski et Chostakovitch) pour l’Orchestre National de France, un peu de tout pour l’Ochestre Philharmonique de Radio France…

Ceux qui ont moins de 26 ans peuvent aussi profiter du passe musique : des places pour moins de 5 euros, à réserver 8 jours avant le concert.

Autre bonne affaire : les concerts gratuits du ouiquende, à la maison de Radio France.

Pas belle la vie ?

Sok

Hommage à un certain…

Certains blogs nous font vibrer, sont comme des cures de bienfaits surtout lorsqu’après un certain temps de connivences, on se rend compte que tout ce qui y passe est réellement en adéquation avec des choses que nous traînons avec nous-mêmes et en profondeur… Il y a un des blogs de ma blogliste que je tiens à mettre particulièrement en exergue aujourd’hui parce qu’il représente beaucoup à mes yeux. D’abord parce que celui qui le tiens porte le même prénom que moi…

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Eh oui, il s’appelle aussi Romuald et fait partie à mes yeux des blogueurs qui ont une ligne éditoriale précise et constante. Le Blog à l’Ouest est un espace où aucune concession n’est faite à l’hypocrisie et nous donne à voir des choses du passé, des choses qui remuent les tripes et qui nous emmènent vers des horizons insoupçonnés.

Un de ses derniers billets dit:

On se surprend à regretter le totalitarisme !

Et il nous emmène voir un site qui recense les projets non terminés de l’architecture moscovite des années 30 à 50… Qui oserait aujourd’hui ? J’éprouve pour cette période de notre histoire un attirance inexplicable et j’aime que l’on me prenne par la main pour m’envoyer dans un autre monde… Regardez cela

Il sait aussi nous emmener dans le métro parisien et nous donne à voir ses vestiges…. et finalement c’est une Amérique bien lointaine des studios hollywoodiens et des stucs de la Maison Blanche qu’il nous propose….

Romuald, c’est aussi et avant tout un photographe qui enchante, un gars de Paris qui invente (ou un cow-boy de Leningrad), un photographe d’une certaine réalité sociale, sans concession et strictement inventif, qui sait montrer aussi ce que nous ne voyons pas.

J’aime ce que tu fais et je voulais que tout le monde le sache…

Auvergne jour 3

La visite continue. Nous avons du mal à partir, mais finalement, ce sera certainement la plus riche en beaux paysages.

Direction, Le Mont-Dore et les hauteurs…

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Une fois n’est pas coûtume, nous déjeunons sur les bords de la Dordogne encore petite mais déjà pleine de caractère. Zouzou apprécie à sa juste valeur le lancer de cailloux dans l’eau.

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Au Mont-Dore, nous décidons de prendre de l’altitude et nous prenons le funiculaire. Une drôle de bête tractée par un filin de métal et nous menant jusqu’au Capucin. Ambiance rétro début de siècle pour une machine classée monument histoire, construite en 1898 et toujours en activité.

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La machinerie, impressionnante de mécaniques bien huilées…

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Au loin, déjà la grande cascade… vue de l’autre côté de la vallée.

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Nous avons pris de la hauteur et en face de nous se trouve cette grande cascade qui nous intrigue. Après avoir un peu tourné en rond, nous repartons alors que le soleil est déjà bas, mais nous osons, et nous avons bien fait. Ceci a certainement été le clou de notre périple. Après plus d’une heure de marche et des paysages somptueux…

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Elle est là, face à nous, la Grande Cascade. C’est tout simplement magnifique, grandiose…

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Et en contrebas, une vue hallucinante sur le Mont-Dore, âmes sensibles d’abstenir…

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Et le retour, en compagnie de Thomas et Cloclo, deux randonneurs qui n’en peuvent plus et que nous décidons de raccompagner jusqu’au Mont-Dore…, la soleil n’est pas loin de se coucher.

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Journée bien remplie mérite bon repas. Nous finissons notre course au Petit Paris (à ne pas confondre avec l’hôtel de Paris, avec ses desserts dégueulasses, son accueil frisquet, place du Panthéon). L’accueil y est chaleureux et l’on y sert des crêpes au fromage somptueuses, des crêpes à la myrtille accompagnées d’une bolée de cidre frais. Un très bon moment.

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Et si ?

E

n regardant derrière moi (ou plutôt dans la petite pièce du rez-de-chaussée), je vois des cahiers rangés sur l’étagère, des cahiers de toutes les tailles et de toutes les couleurs, des milliers de pages sur lesquelles je me suis épanché entre 1995 et 2002, des milliers de pages dans lesquelles j’ai consigné ma vie, mes sujets d’études, ma vision de Paris, mes projets d’écriture, des petites notes, des citations. Si je me souviens bien j’avais compté quelque chose comme 2000 pages écrites tout petit, dans tous les sens….

underwood Lorsque je regarde tout ça, j’ai une certaine nostalgie de ces journées où je pouvais passer tout mon temps à écrire, à écrire tout et n’importe quoi, des choses qui n’intéressaient que moi et qu’un jour quelqu’un lira, ou s’endormira dessus.

Et si je recommençais ?

Et si tous les jours je produisais un petit morceau d’écriture, un fragment ? Mis bout à bout, je réussirais peut-être à mettre quelque chose en forme. Ça me trotte dans la tête depuis un bout de temps, et je me rends compte que dans les billets que j’écris, je fais quelque chose de complètement différent de ce qui me plait tant dans l’écriture.

Cette fois-ci, plus de feuilles volantes impossibles à classer, plus de stylo capricieux et de disette d’encre, plus de cahiers que l’on perd… Uniquement un blog…

Et déjà si tout ceci n’était qu’un rêve ?

Rencontre de blogueurs…

La personne avec qui j’ai pris un café ce midi est un blogueur francophone de renom, une pointure. Un type qui blogue sous SPIP, un des premiers blogueurs que j’ai découvert et que je suis depuis longtemps. Il est le premier à m’avoir référencé dans sa bloglist et il me connaissait déjà du temps où je pseudo-bloguais en HTML (j’ai honte, je sais… mais il faut bien commencer par quelque chose…). Retour sur une petite heure très agréable…

Ce blogueur, c’est ni plus ni moins que Minh Quang… qui comme vous le savez peut-être est en ce moment à Paris. Quel étonnement de ma part, lorsqu’il m’a écrit un mail pour dire qu’il arrivait ici et qu’il souhaitait vivement me rencontrer !! J’en ai été très honoré, j’ai vraiment pris ça pour une marque de grande sympathie à mon égard et j’ai accepté bien volontiers de le rencontrer.

Quelle n’a pas été ma surprise lorsque j’ai vu qu’il était accompagné de Noey, sa douce et gentille femme… ! Je me suis senti doublement honoré… Bien évidemment, comme à mon habitude, je suis arrivé en retard, ce que je trouve extrêmement mal poli lorsque les personnes qui vous attendent viennent de Toronto ! Mais j’étais là et Minh Quang[1] m’attendait là, devant le Saint-Séverin, avec son appareil photo… Je me suis trouvé très ému et j’ai comme l’impression que lui aussi l’était. C’était un grand moment pendant lequel nous n’avons finalement pas beaucoup parlé de blogs, mais plutôt de la vie au Canada et de plein d’autres choses… Et nous avons appris que nous étions tous les trois étudiants dans la même université quasiment les mêmes années !! Je n’avais pas envie de m’en aller, même si je suis arrivé avec une heure de retard au travail, mais je n’avais malheureusement pas beaucoup de temps, et puis je me dis que l’occasion se représentera forcément et à condition que je m’organise la prochaine fois pour que nous puissions passer plus de temps ensemble.

Noey m’a flatté en trouvant que je faisais jeune pour mon âge… J’ai vraiment vécu un moment magique avec deux personnes charmantes et je garde ce souvenir comme un bijou, quelque chose que je porte avec moi comme un des très bons moments de ma vie.

Nous sommes tombés d’accord, tout ceci était beaucoup trop court. Merci Minh Quang et Noey, un grand merci à vous…

 

Notes

[1] Auto-portrait de Minh Quang.

Séance de rattrapage

Y’a pas que de bon, mais ce sont toutes les petites choses que j’ai écrit sur mon PC alors que j’étais en vacances.

Je raconte ma vie, je délire, alors ne vous attardez pas, Lithium a parfois fait mieux.

Jeudi 23 décembre 04

Au soir : tout de suite après le boulot, je saute dans ma voiture et je file chez mes grands-parents pour aller chercher la terrine à foie-gras. Ma grand-mère avait prévu le coup et a déjà emballé la terrine qu’elle avait prévu d’offrir à Sabine le lendemain.

Ma grand-mère a décoré la maison d’objets qui me rappellent mon enfance et les Noëls passés. Un petit sapin en papier brillant, des boules rouges et plein de petits objets. Lorsque j’étais enfant, je faisais toujours au moins deux sapins. Un chez mes grands-parents et un chez ma mère. Je me souviens que nous allumions la lumière dont l’abat-jour est en vessie de porc et avec mes grands-parents, nous décorions le sapin de ces petits atours que parfois je trouvais vieillots, mais je les adorais et aujourd’hui encore, je m’en souviens très nettement. Telle petite pomme de pain en verre ou tel petit écureuil en métal qui se fixait à l’aide d’un pince à linge….

Ensuite , c’est l‘heure des courses pour le repas de Noël, à Carrefour Montesson, et là c’est la folie. Il y a un monde pas possible, et comme le rayon jouets est déstocké, tout est vidé en peu de temps dans une espèce de ruée digne de la conquête de l’ouest… on aurait presque pu voir la poussière s’élever de ces foules bigarrés.

Nous rentrons chez nous épuisés, mais satisfaits d’avoir terminé nos courses.


Vendredi 24 décembre 04

Dès le matin, nous filons à Colombes, à la boulangerie Beunaîche pour aller acheter le pain, les petits-fours et la bûche chocolat-pistache. Je vais ensuite acheter du fromage et du christollen (kölnerbutterstollen) et du marzipanstollen… pleins de beurre, de pâte d’amande et de raison sec, voici des vrais petits desserts pour l’hiver. Un dernier petit tour à Cora Ermont pour les escargots et nous filons à la maison pour préparer notre table, le village de Noël et le repas.
Comme tous les ans, je suis incroyablement gâté, mais certainement pas autant que mon fils.

  • Une bouilloire pour le thé
  • Une petite théière
  • Un carnet de route en cuir de chameau
  • Deux bols à nouilles japonais
  • Le troisième tome des oeuvres complètes de Rudyard Kipling
  • Un carrom magnifique qui a du coûter une fortune…

Un Noël clairement sous le signe de l’Asie.

Notre repas était une fois de plus pantagruélique.

  • Petits fours à base de beurre de saumon, oeufs de lumpe, beurre de roquefort.
  • Pain surprise aux poissons
  • Foie gras maison et toasts grillés
  • Saumon fumé au citron, blinis et crême fraîche.
  • Escargots de Bourgogne au beurre à l’ail
  • Homard à l’armoricaine
  • Plateau de fromages
  • Petits fours sucrés
  • Bûche Chocolat Pistache

Le tout arrosé de Champagne et de Loupiac.
Gueule de bois assurée.


Samedi 25 décembre 04

A Paris, comme prévu deux jours auparavant. Ce n’est pas ce que j’avais souhaité, mais je n’ai apparemment pas le choix. C’est comme ça et ce n’est pas autrement. Bon en fait, ça ne se passe pas trop mal et le nouveau studio de ma mère n’est pas si mal que ça, même si c’est dans un ancien hôtel de passe. J’arrive à faire de belles photos. Ma sœur est contente avec son appareil photo numérique.
Là aussi, je suis gâté.

  • Le permier tome des oeuvres complètes de Robert Louis Stevenson
  • Un superbe pull en laine à col roulé

Je me pose la question de savoir ce que sont les 12 jours de Noël. Nous sommes déjà le 26 décembre et Noël est passé… mais l’air de fête est toujours là. La seule différence, c’est que maintenant, nous sommes plus détendus. Les jours de Noël continuent et l’ambiance est toujours là.

Nous finissons les restes et passant notre temps à table, alternant les moments de jeux avec le carrom et les coups d’oeils distraits à la télévision qui débite des sottises


vendredi 31 décembre 2004

D’après Claude Chabrol, le journalisme sportif, c’est traiter sérieusement des choses dérisoires.

Je me demande si la création, ce ne serait pas faire n’importe quoi à partir de tout ce qui est acquis, l’exact contraire du naïf. Je pars de tout ce que je connais, et je pars du principe que j’ai tout assimilé. Et à partir de ça, je balance, j’exécute, je trace, advienne que pourra. Désormais, c’est comme que je vois l’art, la création. Ça peut donner du très bon comme du très mauvais.

Je hais les 31 décembre. Ce sont des jours tristes à mourir, tristes parce que toujours pluvieux.

Je fais le tour de tous mes disques durs et je trouve plein de choses que j’avais oublié. Ce que je fais, c’est que je collecte. Des URL, des images, des textes, plein de choses hétéroclites et lorsque je retombe dessus, je les assemble, je les traite, j’en fais quelque chose de nouveau. C’est peut-être ça le web-art. Moi ? Artiste ? Pfff….

Besoin d’écrire énormément. Mon retour au blog va être terrible. Le risque de voir un nombre impressionnant de billet fleurir à mon retour est grand. Très très grand.

Fantasme du jour : une simple maison rectangulaire

Souvenir : Je me souviens lorsque j’allais avec mes grands-parents à Orgeval. Un des arrêts obligatoires était le magasin Big-big, une immense caverne à jouets. On devrait toujours prendre en photo les lieux que l’on aime car dès lors que les décorateurs, les peintres ou les bulldozers sont passés, il ne reste plus rien de notre passé. Le centre commercial Art-de-Vivre recelait alors dans ses murs une immense librairie appelée Le Grand Cercle. Sur des rayonnages profonds s’entassaient des milliers de livres dans un chaos sans nom, mais conféraient à l’ensemble une douce odeur de familiarité. Tout ceci n’existe plus, tout a été refait et ne correspond plus à ce que j’aimais.


Samedi 1er janvier 2005

Voilà, nous y sommes, nous sommes en 2005 et je n’ai pas pris mes bonnes résolutions. Faut dire que je ne les respecte jamais alors à quoi bon ? J’ai trouvé ces fêtes tristes cette année, et j’espère que ce sera la dernière fois. Tout est à reconstruire.

Envie de silence, envie qu’on me foute la paix. Envie de rester dans mon coin et de ne faire ce que je veux faire, réfléchir sur moi, mon passé et mon avenir, mes problèmes et les solutions à trouver.

En fait, j’ai déjà trouvé la solution. Il faut que je gagne beaucoup plus d’argent. Tout se trouve là.

Une théière « très chouette ». Le 30 décembre, nous avons fait la surprise à mes grands-parents de passer les voir, ce qui les a mis en joie. Ma grand-mère m’a offert une théière en grès en forme de chouette. J’aime beaucoup, ça fait très anglais.

Le premier livre que j’aurais lu cette année ? Souvenirs de France de Rudyard Kipling aux Editions Arléa.

19h18 : rien à faire, je déteste vraiment souhaiter la bonne année… J’ai toutefois eu la surprise de voir el Grinch débarquer sur mon blog comme un pétale de soupe sur la rose. Content, je suis, qu’il soit venu jusqu’ici.

19h53 : Portabilité du blog : Chaque semaine de blog sera disponible au format PDF, au cas où vous souhaitiez partir en vacances avec.


Dimanche 2 janvier 2005

Kipling : Souvenirs de France. Un Anglais parle de la France. Nous sommes en 1933 et les cicatrices de la première guerre mondiale sont à peine effacées. Il nous raconte la France, telle qu’il la connaît depuis son enfance. C’est sans fioritures et grandiose, comme à chaque fois chez Kipling.

Il fait un temps magnifique, une lumière bleue argentée métallise tout à l’horizon. Pas un temps d’hiver.

Nouvelle orientation : faire de Ôé un blog au moins aussi connu que « Comme la lune sur la branche ». Une raison à cela : il existe de belles choses à faire connaître, à dire, à expérimenter dans ce monde et je compte désormais parler de tout cela avec une certaine poésie.

A faire aussi : avec les photos que m’a confiée Etolane, la racine de mon site va enfin avoir une belle présentation.

Il me semble – de mémoire – qu’on peut utiliser les ancres nommées sous Dotclear. Si tel est bien le cas, je m’en servirais pour partager chaque billet en parties distinctes. Chaque nouvelle mise à jour de Ôé fera l’objet d’un billet sur « Comme la lune sur la branche ». Je vais aussi refaire une partie du design afin que cela ressemble plus à ce que je veux en faire.

Je suis debout face à mon ordinateur et j’écris presque frénétiquement.

Pour 2005 : Ecrire, vendre, se vendre, se faire connaître, se démultiplier. Comme dans l’entreprise où je travaille, je mets en place des axes stratégiques qu’il me faudra suivre grâce à des indicateurs et optimiser. Cette année sera quelque chose ou ne sera rien.
17h52 : Cette vie là n’est pas normale. Il se passe quelque chose, une sorte de malédiction venue des dieux… Pas possible autrement.