Amoureux de Paname, des clichés en noir et blanc, des airs d’accordéon (qu’on n’entend que très rarement) et des beaux monuments, Paris en images est un site qui recense plus de 15000 photos de la capitale. Un choix vaste aidé par un moteur de recherche thématique par collections. Un travail colossal. Via Fabienne et noticias arquitectura.
HFT, 1re autobiographie
« Quand, en juin 1940, le général de Gaulle me demanda de le rejoindre afin d’organiser la Résistance, je m’aperçus que je n’étais pas né. Je le lui fis donc dire, mais jamais il ne me crut vraiment et toute sa vie il garda, contre moi et ceux de ma génération, une certaine idée de rancune… »
Multilog
On ne le sait peut-être pas, mais la tendance est à la réduction de l’espace et à la simplification de l’habitat.
Un univers envoûtant, celui des ruines fictives de mondes fictifs. Trouvé sur BLDGBLOG.
L’architecture très spontanée et volontairement déconstruite de Siteenvirodesign pour Best. Via Andreas Angelidakis.
Havaleena, un bouquet de lampes très design, très reposant, par Tayo, via MoCo Loco.
Le repli
J’ai les yeux qui se ferment au contact de la lumière.
En rentrant, j’ai pris un bouquin et je me suis enfermé dans les toilettes, toute une architecture tendue vers les abysses.
J’étais bien, au calme dans l’atmosphère enfumée…
Et je pense m’être endormi.
Chicago by night
Lucas, que je connais depuis longtemps maintenant, nous emmène en quelques clichés magnifiques (qui mériteraient d’ailleurs des formats plus grands) au travers de l’Amérique lumineuse, dans la ville des mille vents. Recommence quand tu veux…
Motel Hell
Le titre dit tout: Tacky and trashy Motel postcards of the 1950’s, 60’s and 70’s. Forgotten places lost on the roads that time forgot. Et honnêtement, ça vaut le coup d’oeil. Les lecteurs de Motel Blues de Bill Bryson y retrouveront certainement l’ambiance surannée des motels des bords d’autoroute. Via Coudal.
Culture bière
Pour les amoureux de la bière consommée avec modération, un lounge s’est ouvert sur les Champs-Elysées (qui soit dit en passant retrouve un peu de son lustre que la propagation des marques à pétasses avait eu tendance à ternir ces dernières années). Un cadre agréable entièrement dédié au dieu houblon…
Bye Bye Brecker
Il était l’héritier d’un jazz classique, musicien hors-pair capable d’envolées lyriques au saxo, je me souviens du son particulier de ses cuivres, accompagné de son frère Randy sur quelques uns des albums de Franck Zappa, il avait joué avec les plus grands du jazz mais aussi avec des personnalités de la pop. Michael Brecker avait 57 ans et s’est éteint le 13 janvier… RIP.
It's nothing, it's nothing…
Ce qui est étrange sur avec les mots, c’est qu’on n’y voit pas ce qu’on est en droit d’attendre. On ne peut voir l’auteur en train d’écrire, on ne voit pas non plus ce qu’il ressent tandis que lui ne met dans ses mots que ce qu’il veut bien y mettre en tentant de tromper son monde. Seulement, en ce moment, j’ai l’impression que ce je cache se voit beaucoup trop. Ma fatigue, cette impression manifeste que rien d’excitant ne se produit dans ma vie, le fait que je me sente tout à coup vieillir, tout ceci ne se voit pas et de toute façon ça n’intéresse ni ne regarde personne.
Normalement, la moindre petite étincelle a pour moi cette potentialité de se transformer en feu de joie. Donc, quelque chose ne va pas en ce moment et le problème c’est que je ne sais pas ce que c’est. Je passe mon temps à me demander pourquoi je ne lis pas ou pourquoi je n’écris pas, ou alors pourquoi je n’arrive à me décider entre l’un ou l’autre et tout ceci se révèle absolument contre-productif.
Bsimple
Voici ce qui s’appelle soi-même de la photographie conceptuelle. Né d’un univers onirique terrifiant, le rendu et la composition font froid dans le dos, donnant à croire que la simple perception des choses n’est induite que par une altération de la réalité. (la photo ci-jointe est tirée de la série crowd et n’est pas tellement représentative du travail de la série la plus impressionnante: shout).
Misha Gordin via Imagination.