Helvetica et les autres

L’histoire d’Helvetica dans le métro, de céramique, de fer ou de mosaïque… 9 pages passionnantes.
Sur Aiga.org.

Piscines, salles de théâtre, parcs d’attraction délabrés. On se croirait dans le voyage de Chihiro… ou dans Orange Mécanique.
Sur Web-Urbanist.

Sur Pruned, deux articles intéressants. Le premier est un condensé de tous les éléments qui composent ce qui représentera une catastrophe écologique majeure ; The Palms de Dubai. La côte chez Pruned. Et un autre article sur les traces des anciennes voies, et une église qui change d’orientation.

Mathieu Gasfou travaille autour de la surface. Une œuvre éclatante et surprenante. Via Iain Claridge.

Charlotte Savary – Our Dance

Ce titre chez moi est un peu passé inaperçu – ce qui parait peu compréhensible au vu du succès pas croyable de Wax Tailor ces derniers temps – peut-être parce que je n’aime pas beaucoup les rythmes lancinants, mais je suis retombé dessus un peu par hasard et depuis que je vu Charlotte Savary. Ce que j’aime surtout c’est son petit accent français dans le flot anglo-saxon, sa voix limpide et cet air mutin.  Charlotte Savary c’est aussi Felipecha, un groupe à mi-chemin entre la folk et la chanson française façon jazz manouche. Artiste de prédilection des projets de Wax Tailor, c’est une des voix les plus claires du moment et un physique qui ne laisse pas indifférent.

You see what I mean – Le matin

La matin est un moment magique lorsqu’il est nimbé des premières lueurs du soleil. Cela signifie aussi des odeurs de fraicheur après la douche l’odeur mentholée du dentifrice qui subsiste dans la bouche et surtout l’odeur du café qui vient de couler juste avant le coup de feu qui annonce le départ vers l’école puis la gare. Les lumières sont alors incomparables et révèlent la beauté d’un monde qui a pendant notre sommeil sombré dans l’obscurité. La brume et les halos s’éteignent alors.

n° 3 Le matin

matin

« You see what I mean » comme une affirmation, ou comme une question, une question qui amène une réponse à l’autre bout du monde, ou plutôt deux questions qui interrogent le monde et par lequel on répond avec l’œil du spectateur au travers de l’objectif. C’est le défi auquel nous nous plions Fabienne et moi, une fois par semaine autour d’un thème choisi d’un commun accord. L’orientation choisie, nous nous faisons la surprise de l’image avec notre personnalité, notre regard, notre sensibilité, pour donner naissance à de nouvelles perspectives qui étonneront certainement autant les visiteurs curieux que les auteurs.

Hasards de l'isolement

J’ai installé près de mon canapé une étagère peinte du même gris titane métallisé que le mur. Envie de quelque chose de propre, de net, une étagère sur laquelle il n’y aurait rien que des choses triées, pour que tout soit net. Et hier, j’ai posé un livre de Murakami que je venais d’acheter, la fin des temps et le DVD d’Apocalyse Now version longue. J’ai regardé les deux supports posés l’un à côté de l’autre et j’ai tout de suite compris qu’il n’y avait pas là que l’effet du hasard, comme une communion d’éléments qui se retrouvent au beau milieu de l’univers.

hasards