Voici le supermarché du préfabriqué. Office of mobile design est le vrai spécialiste du préfabriqué en tout genre.
Un des exemples disponibles, vraiment séduisant.
Coquille vide faite de souvenirs
Voici le supermarché du préfabriqué. Office of mobile design est le vrai spécialiste du préfabriqué en tout genre.
Un des exemples disponibles, vraiment séduisant.
Une photo pour le moins étrange trouvée je ne sais plus comment…
Trucage ? Mystère soudain de la nature ?
Ou l’art du mobilier sémantique.
Une façon particulière et très personnelle de concevoir le mobilier avec des mots, des encres faites maison, à regarder de beaucoup plus près pour comprendre ce que fait Thomas Broome sur ses Modern Mantras.
Via DesignBoom.
Il traite de l’influence de la main de l’homme dans la nature et de la réimplantation de la nature dans le milieu artificiel humain, met en scène des personnages dans des décors purs et dénués de signifiant superflu ou alors la nature à l’état brut.
Je me suis laissé avoir par cette liste de préconisations pour écrire. En bon lecteur que je suis, j’ai traduit mentalement tous les items, et je me suis dit que certaines choses étaient tellement grosses qu’on devait certainement avoir à faire à un plaisantin. En fait, ce n’est ni plus ni moins qu’une belle pièce d’humour tout britannique.
Retour sur une personnalité qui a compté dans mon épanouissement musical puisque c’est avec Björk que j’ai appris à connaître un pan de la musique électronique. Muse froide et déjantée, héritière des chants des sagas islandaises et de méthodes vocales ancestrales, c’est un sacré personnage dont la voix cristalline me plonge toujours dans des rêveries lénifiantes. Florilège en vidéo de ses quatre albums phare.
Après avoir gouté les joies de la fête, des lumières de Noël, des mets succulents et délicieux installés sur la table, après avoir vu les étincelles de joie éclater dans les yeux de mon fils qui va sur ses quatre ans, après avoir tous ensemble, en famille fêté ces jours de bonheur, sans effusions et dans la bonne humeur, une nouvelle année commence. 2007 arrive tout doucement, s’installe et après les souhaits habituels et sincères adressés aux personnes que l’on aime, il va falloir affronter avec rigidité la corvée des souhaits dégoulinants et factuels des gens que l’on n’aime pas et leur servir des paroles que l’on ne pense pas, tout en recevant les leurs tout aussi hypocrites. Mais je suppose que c’est cela qu’on appelle le monde des apparences et les convenances, auxquelles je ne suis pas habitué et que j’essaie dans la mesure du possible d’éviter avec une constance régulière.
Pour moi, cette année sera l’année de papier, l’année de l’écriture, des sujets et des objets méticuleusement réfléchis, une année de changements en sachant toutefois que les “résolutions” que l’on choisit de respecter ne sont que des foutaises qui meurent avec les derniers jours de janvier. Le changement d’année n’est qu’un jalon qui permet de passer à autre chose, de faire tabula rasa des erreurs du passé et de repartir d’un bon pied.
A présent donc, tout recommence, les lumières de Noël s’éteignent, Monsieur Sapin va quitter la büche qui lui sert de piédestal et tout va redevenir normal. Enfin, je suppose.
Sobrement…
Un site que j’ai découvert au travers d’une conversation nocturne avec une nymphe, un monde de lignes pures, le monde de Pleco est un univers faits de moments volés à une nature palpable et charnelle, un lieu de repos dans lequel j’aime venir me ressourcer lorsque le bruit se fait trop présent.