Précipité d’en haut…
Je n’écris pas pour me souvenir plus tard.
J’écris pour oublier maintenant…
J’a retrouvé quelque part cette photo de Raymond Depardon dans mes petits papiers parmi un tas d’autres tirées du livre Voyages. D’autres parlent d’une femme dans le désert d’un amour niché au beau milieu des grains de sable, d’autres encore de grands hôtels vénitiens, d’autres encore me rappellent l’inavouable vérité des secrets ; une petite ritournelle me revient alors au loin comme le chant d’une boîte à musique dans les tourments du vent…
Dehors il gèle ce soir la nuit emporte l’odeur des dunes…
Plus que des poèmes.
je me disais l’autre jour que ça faisait bien longtemps que tu ne nous avais pas parlé de ton océan, mais il semblerait que pour l’heure, tu sois échoué sur les dunes 🙂
Il n’est jamais bien loin, et l’hiver je pense aux glaces qui recouvrent sa surface. L’océan prend de multiples formes et je prends tout de lui.