Dans la galerie des traîtres

Grâce aux soins attentionnés de mon homonyme (non moins célèbre en ces lieux) Romu, et en raison de sa dénonciation calomnieuse, je me suis retrouvé une fois de plus cloué au piloris chez le Capitaine dans la galerie des traîtres à la cause des blogs sans chats, soutenue par Houssein. Votre blog préféré est à présent cat-listé dans la catégorie des blogs à tête de chat.

Pour mémoire, “Ce blog est un blog 100% anti-blog sans chat.” Et je maintiens ma position. On est un combattant ou on ne l’est pas.

Pascal Obistro

Pascal Obistro

Après avoir écorniflé sérieusement l’image d’artistes Ô combien reconnus comme Amadou et Mariam (en d’autres temps), Benjamin Biolay et Grand corps salade, aujourd’hui, j’aimerais m’en prendre à tête de gland à queue de rat. Pardon, c’est parti tout seul.

Certaines personnes comme ça, jouent de malchance. Je me souviens de lui lorsqu’on a commencé à l’entendre brailler, lorsqu’il avait déjà commencé à perdre ses cheveux, il avait déjà l’air foncièrement ridicule, et puis il s’est mis à porter des lunettes jaunes. Soit. Admirateur et successeur auto-proclamé de Michel Polnareff (pas en matière de pilosité crânienne je suppose), il a passé sa carrière à se prendre des vestes artistiques: aucune récompense aux victoires de la musique, pas de vraie reconnaissance musicale, il se cantonne d’ailleurs aujourd’hui à écrire pour les autres, et à sortir quelques titres tous aussi fades les uns que les autres (comme dit Fabienne, si j’existe, si j’existe, c’est d’être fade...)

J’en appelle à mes petits copains québécois qui nous envoient leurs brailleurs professionnels (Céline, Lou Garou, Isabelle Boulet et consorts), vous ne voulez pas de celui-ci ? Pour l’anecdote, sa plus grande idole, Polnareff a tout fait pour qu’il soit blacklisté lors de sa série de concerts en France (ainsi qu’Ardisson, Beigbeder et Eddy Mitchell). Du coup, je vous le donne dans le mille Emile, Pascal est allé s’en jeter quelques uns, Obistro…

EDIT: vous saviez qu’Obistro avait un blog ? Si si !! Il a même fait un billet sur moi ! Continue reading “Pascal Obistro”

Mad scores

Quand le musicien devient fou, la partition vole en éclat. Le pire dans tout ceci, c’est que c’est jouable… Je me souviens avoir eu entre les mains les partitions du Samstag aus licht de Karlheinz Stockhausen et j’avoue que ça avait quelque chose de poétique.

Chez Dark Roasted Blend.

Music score

Guitar effects

Red Studio

Postée par Romuald L, le 9th May, 2006.

Pandora, le désormais célèbre site qui se propose de vous faire aimer la musique que vous ne connaissez pas encore (personnellement, je trouve que ce site reste une des plus belles inventions de ces derniers temps), propose une série de podcasts aussi rares que riches. Les derniers en dates explique comment certains musiciens utilisent leur guitare. On apprend ainsi tout ce qu’il faut savoir sur le tremolo, le chorus et autres wah-wah. Un article agrémenté de photos et d’exemples musicaux. Très instructif.

Tezuka

Takaharu Tezuka est né en 1964 à Tokyo et Yui Tezuka est né en 1969 à Kanagawa. Ensemble, depuis 1995, ils révolutionnent l’architecture en construisant des maisons ou des immeubles comme des objets, comme des boîtes à chaussure dont certains pans sont complètement amovibles comme dans la Sandou ou la Eaves. Adeptes du porte-à-faux et des espaces libérés, ils font partie de ces architectes qui n’hésitent pas à se jouer des habitudes. La Jyubako est à mon sens l’exemple le plus frappant.

Tezuka

Un grand merci à Carlo Vuijlsteke de Rouge blog qui m’a fait découvrir ces architectes et pour m’avoir fait entrer dans sa liste de blog à haute teneur en inspiration.

La nausée

Je ne lis pas les blogs de gens comme Ginisty ou Le Meur pour plusieurs raisons.
Premièrement, parce que le contenu est inintéressant au possible, mais cela je l’ai déjà dit.
Ensuite, parce que les commentaires le sont encore plus et, je le maintiens, émis par des moutons, flattant ainsi l’instinct grégaire des bipèdes.
Mais la principale raison est et demeure parce qu’on y voit ce genre de conneries.
Là, je me dis qu’on ne vit vraiment pas sur la même planète, et les commentaires sont encore plus drôles, enfin non, c’est triste.
Pathétique à vomir.