Poses longues et décalées, couleurs révélées par la nuit, dans la lumière des phares des voitures ou des stations essence ou plus prosaïquement avec l’obscure clarté des ténèbres, des fantômes surgissent des photos de Romain Osi. Des séries tendres, de Bound Area à Lost in Paradise, des chants de la terre qui parlent à l’étonnement, à la fascination de l’errance.
des “couleurs révélées par la nuit”, j’aime beaucoup cette formule.
Osi, fallait oser.
(je suis déjà dehors)
Osons ensemble…
Je trouve la deuxième magique, comme une maquette hyper-réaliste, c’est très troublant !
Tu fais comment pour trouver des perles comme celles-ci ? Un mystère pour moi qui voit passer tes “découvertes” jour après jour.
En fait, je suis mon instinct, je flâne, j’erre et quand je vois une image qui reflète ce qui me plait, je suis le lapin blanc jusqu’à sa tanière 🙂
J’aime beaucoup, très irréel, temps suspendu, clair obscur… photos paradoxales et ambigües. Superbe.
PS: Lost in Paradise… ça me rappelle quelque chose, mais quoi ? 😉
ça te rappelle peut-être Lost in Translation ? quel beau film ! 😉
Lorran, euh nan je vois pas 🙂 Pour info, mon blog a pris ce nom là d’après un site qui n’existe plus et qui se nommait Lost in Space. C’est en 1998…
Fabienne, toujours pas vu moi 😉
Lost in Space c’est aussi un film, mais très, très mauvais cette fois.
Ah ben là, je connais pas 🙂