What lies beneath the surface

La photographie de paysage est un véritable art à part entière. L’art de Guy Sargent a ceci de particulier qu’il représente la nature comme quelque chose de foncièrement organique dont la charge émotionnelle est forte. Entre les Cornouailles et l’Italie, en passant par Londres ou Paris, la représentation qu’il nous donne à voir est un monde à la fois lisse et rugueux, une nature qui saigne par tous les pores de sa surface comme si elle n’était qu’une immense peau.

4 Replies to “What lies beneath the surface”

  1. il me semble qu’il établit un lien entre des structures purement naturelles, qui sont l’oeuvre de l’eau, de la terre, de l’érosion et du temps, et des structures purement humaines, où la lumière joue un rôle fondamental dans la composition des lignes.

    Dans ses photos, je vois une corrélation entre nature et architecture, avec une présence prédominante de la lumière et une grande pureté, presque aérienne, dans les lignes, horizontale ou verticales.

  2. C’est marrant la vision qu’on peut avoir des choses, au contraire, sa photo me semble justement assez éloignée de l’architecture en ceci que tout réside justement dans la définition des courbes, mais ce n’est que ma position. 🙂

  3. ben c’est juste que dans la description, il est dit “The series examines both landscape & architecture”.

    Je trouve que la définition des courbes, comme tu le dis, fait partie intégrante de l’architecture.

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