Grains de café et noyaux de cerises

Un billet après trois jours. Trois jours hors-circuit, trois jours dans ma coquille, accompagné d’O’Hanlon, d’Adolfo Bioy Casares, d’Ella Maillart et de Paul Bowles, trois jours de confusion, à peine vécus, juste survolés.

Samedi à Paris, le quartier étudiant, les travées vertes et les lignes de train abandonnées de la rue Belliard, l’étrange calme du troisième genre de la rue Leibniz, les petites rues sombres et anciennes du quartier latin, la rue Galande, la rue Maître Albert, la rue des Ecoles, des souvenirs d’étudiant qui remontent à la surface. Il faisait beau.

Paris N&B

Sur les bords de Seine, face à l’Assemblée Nationale.

Paris N&B

En sortant de la rue Lagrange, face à Notre-Dame.

Paris N&B

Le bâtiment Eyrolles, alors que j’entrais au Vieux Campeur.

Paris N&B

En revenant sur mes pas, dans la rue du Fouarre.

Paris N&B

Sur les quais de Seine…

Paris N&B

L’Île Saint-Louis, les bouquinistes.

Paris N&B

L’institut de France, en face de la passerelle des arts.

Paris N&B

Dolce Vita sur la place de la Concorde.

Paris N&B

Majestueux obélisque recouvert d’électrum.

Cerises

Dimanche, je me suis perché dans le cerisier de mes grands-parents. Envoûté par le parfum des cerises, au soleil, la tête au dessus du monde, je me suis gavé de ces grosses Napoléon juteuses jusqu’à en avoir mal à l’estomac.

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