Le passage de la photo au pixel en deux coups de cuiller à pot. Une expérience intéressante et parfois assez troublante lorsque du pixel on retourne à la réalité. No men’s land.
Via VVork.
Coquille vide faite de souvenirs
Le passage de la photo au pixel en deux coups de cuiller à pot. Une expérience intéressante et parfois assez troublante lorsque du pixel on retourne à la réalité. No men’s land.
Via VVork.
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hum, on sens quand même que c’est très travaillé… du coup on perd l’intérêt qui peut sortir du hasard de l’algorithme. et puis je m’interroge : pourquoi les textes sont systématiquement re-typographiés et pas utilisés comme éléments graphique dans la version pixellisée ?
En ce qui concerne ta question, je comprends, mais c’est le parti pris de l’artiste. Quand au hasard de l’algorithme, je ne comprends pas ce que tu veux dire ?
lorran > “Each abstract image is made entirely by hand.” il n’y pas d’algorithme là derrière 🙂
c’est bien ce que je veux dire ; trop travaillé pour qu’il en sorte une poésie visuelle… alors qu’une pixellisation toute simple avec un logiciel de retouche d’image très connu (et bientôt en ligne) peut parfois donner de beaux résultats. Voilà.
ah oui ok, je comprends mieux 🙂
l’artiste montre sa volonté de ne garder que quelques éléments spécifiques, qui sans doute résume à ses yeux l’image originale. en laissant faire un logiciel, on peut perdre des éléments importants, peut-être ?
ou en faire ressortir… comme il sort du pinceau (ou crayon) du peintre (Hartung, Zao Wou Ki, Michaux…) des choses non voulues qui deviennent essentielles à l’œuvre.
oui tu as tout à fait raison
en l’occurrence, cym, l’artiste, a adopté une approche moins aléatoire et plus volontaire