Decksandrumsandrockandroll

Janvier 1998, un événement, l’album des Propellerheads (synonyme de “nerd”).
Un album sorti des flammes des forges de Vulcain, ou plutôt de ses studios d’enregistrement, concocté par deux extra-terrestres, Will White et Alex Gifford, deux DJ très imprégnés de l’univers de James Bond, à tel point que sur leur album, ils rendront un double hommage au personnage de Ian Flemming en mixant le titre de John Barry*, On her majesty’s secret service, composé pour le film du même nom, et en invitant Dame Shirley Bassey, la seule à avoir eu l’insigne honneur de chanter trois génériques de James Bond (Goldfinger, Diamonds Are Forever, et Moonraker) à se produire sur le titre History Repeating.
Decksandrumsandrockandroll est un album sorti de nulle part, que l’on pourrait classer dans une catégorie spéciale “Beat Heavy Electro”. Autre titre marquant, Spybreak, que l’on peut entendre dans le 1er Matrix.

[audio:http://theswedishparrot.com/ftp/Spybreak.mp3]

Decksandrumsandrockandroll

* L’ex-mari de Jane Birkin

2 Replies to “Decksandrumsandrockandroll”

  1. Evidemment, cela ne nous rajeunit pas. 1998, c’est loin ! Rien que de m’entendre prononcer cette phrase me fait pousser deux trois cheveux blancs de plus. Mais c’était hier, 1998, bordel de merde ! J’ai écouté ce groupe en boucle. Il faut que je le retrouve, il est quelque part sous une pile de cd’s, mais laquelle ? C’est môche de vieillir, on perd la mémoire…

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