Tenzin Gyatso en Suisse

Né en 1935 – Tenzin Gyatso – un symbole de paix indiscutablement remarquable, poursuit son enseignement à travers le monde entier.

Du 5 au 12 août 2005, le chef spirituel du peuple tibétain donnera les enseignements, en tibétain (et des traductions en nos langues seront à disposition)

le site officiel (corrigé avec mon mea culpa pour l’erreur involontaire)

Pour l’histoire:
Agé de 2 ans, Tenzi Gyatso est reconnu – selon la tradition tibétaine – comme la réincarnation du 13ème Dalaï-Lama. Ainsi, le 22 février 1940 à Lhassa, marque son intronisation. Il est Geshe Lharampa (docteur en philosophie bouddhiste).

Le 7 octobre 1950, les forces chinoises, avec à leur tête Mao Ze Dong, envahirent le Tibet. Le Dalaï-Lama trouva refuge en Inde en 1959. Il n’a jamais abandonné son pays, il a fuit pour mieux survivre et plaider la cause des tibétains.

Depuis, il ne cesse de plaider en faveur de négociations. En 1989, ses efforts furent couronnés par le Prix Nobel de la Paix.
Mais le Tibet est toujours occupé et la culture de son peuple de plus en plus menacée d’éradication.

Souvent, le Dalaï-Lama (océan de sagesse) parle de lui comme d’un simple moine. Dans son exil à Dharamsalla au nord-ouest de l’Inde, il s’investit essentiellement à la méditation et aux prières. Par ailleurs, il voyage beaucoup dans le monde pour donner des conférences (telles que celle précitée), à l’occasion de rencontres bouddhistes ou encore pour rencontrer des hommes politiques.

Lorsque nos intentions sont égoïstes, le fait que nos actes puissent paraître bons ne garantit pas qu’ils soient positifs ou éthiques
> Sa Sainteté le Dalai Lama <

La croix et la bannière – La légende

Une épidémie de vache folle a touché le petit pays. Des spermatozoïdes ont envahi le territoire de T’Hell, Guillaume.

Les ptits suisses pleurent le chemin de croix tracé par la vache milka, complètement détruit par les bizarreries engendrées par la dame de Fehr.

Par la grâce de l’ange lufthansa, les petits suisses peuvent se protèger hermétiquement à l’aide des combinaisons proprement réalisées par 100% swiss et leurs couturiers

La valse de la money peut tourner en paix.

Sinon moi ça va … et vous?

Toute ressemblance avec des personnages réels, ne serait qu’une fortuite coïncidence

Droits et esclavage du blogueur: le mouvement perpétuel existe…

Comme le dit si bien Fabienne, les blogs c’est mal.. C’est mal parce que c’est une source constante de tracas, nous emprisonnant dans une spirale infernale.

Bloguer, c’est le début d’une aliénation atypiquement contraignante.

barbe

J’ai lu chez Mitternacht qu’un certain kNo’ (enchanté, camarade) a posé les fondements d’une charte des droits du blogueur. Copier/Coller et hop, ça donne ça:

  1. Le droit de ne pas bloguer: bon en ce qui me concerne je me vois mal ne pas bloguer étant donné que ma moëlle épinière est greffée sur mon interface d’administration. Tout ceci serait vraiment trop compliqué à gérer, d’autant plus j’ai un blog, mais on peut dire que ne pas avoir de blog est un droit. Même si les non-blogueurs sont un peu comme des semi-humains.
  2. Le droit de ne pas bloguer tous les jours: Certes, l’étymomologie de blog révèle la journalité de l’édition, mais journal ne veut pas non plus dire hebdomadaire. Je réclame donc le droit de ne pas bloguer le week-end.
  3. Le droit de citer: je n’ai rien à ajouter sur ce point, c’est très bien comme ça.
  4. Le droit de bloguer sur n’importe quoi (je préciserai en disant: le droit de blogueur n’importe quoi, juste parce que j’adore les nuances qui n’apportent rien): Si le sujet que tu blogues est blogué, alors, c’est qu’il était bloggable, par définition. Tout réside dans l’intérêt que les lecteurs peuvent avoir à lire n’importe quoi, et dans la capacité d’abstraction du blogueur à satisfaire ou non son lectorat…
  5. Le droit de bloguer pour soi: bloguer pour soi ou bloguer pour fiare de l’audience ? Le problème de l’anonymat, ou plutôt de la non-exposition est compliqué et a déjà été plusieurs fois abordé. A partir du moment où un blog s’ouvre, il finit forcément par trouver des lecteurs. Difficile dans ces conditions d’en faire abstraction et ne pas un tant soit peu répondre à une certaine demande. Sans aller jusqu’à faire la pute, on finit par devenir public, exposé, maltraîté. Après, tout est histoire de résistance…

Je me permets de rajouter cet item:

  • Le droit de mal bloguer: Personne n’est parfait et respecter sa propre ligne éditoriale est parfois sujet à caution. La ligne finit quelque fois en spirale.

Et pour rebondir sur cette spirale (rien à voir avec Zébulon), cette réflexion courte et primesautière que nous avons eu avec Fabienne par MSN, montre à quel point nous sommes des êtres faibles et que bloguer peut vite tourner au cauchemar sans fin… On peut dire que Fabienne a découvert où se cachait le mouvement perpétuel…

Au passage, je découvre dans mes publicités AdSense qu’un blogueur se fait de la pub par Google (AdWords), une chance pour lui, c’est un bon blog.