Pink Floyd & Jethro Tull

Comment des gens aussi célèbres que Pink Floyd ont-ils pu perdurer en enregistrant un blues chanté par des chiens en chaleur et le bruit du vent dans la campagne ? A moins que ce ne soit des sons de synthèse, ce qui ne m’étonnerait guère de leur part. Toujours est-il que maintenant que j’ai écouté cet album, je comprends mieux ce que voulaient dire les phrases sibyllines de mon professeur de physique au lycée, Mr Bahrami, lorsqu’il nous parlait des lasers qui se reflétaient dans les yeux des chiens pendant que le public d’un concert de Pink Floyd gueulait en choeur. Vous non plus, vous ne voyez pas très bien ce que je veux dire. Pas grave.

Hier soir, j’ai redécouvert sur une vieille cassette, les prouesses de Jethro Tull (du nom d’un fermier inventeur du plantoir à grain au 18ème siècle) en live, Dharma for one et By kind permission of, du plus pur plaisir. Rien ne m’évoque plus les virées normandes avec Yan, les petits déjeuners à 05 heures du mat’ et la supercinq enlisée dans le sable de la grève de Cabourg….

Hier soir, quand je suis passé sur le pont d’Argenteuil, la Seine refoulait déjà une terrible odeur de poubelles et de rats crevés…

Terrible déjeuner: je ne suis qu’un pauvre con, un idiot de la pire espèce. Le rayon de soleil s’en est allé et désormais, tout est terminé. Je vais rester comme un abruti dans mon coin, isolé, meurtri. Je fais une pause.

Pink Floyd & Jethro Tull

Comment des gens aussi célèbres que Pink Floyd ont-ils pu perdurer en enregistrant un blues chanté par des chiens en chaleur et le bruit du vent dans la campagne ? A moins que ce ne soit des sons de synthèse, ce qui ne m’étonnerait guère de leur part. Toujours est-il que maintenant que j’ai écouté cet album, je comprends mieux ce que voulaient dire les phrases sybillines de mon professeur de physique au lycée, Mr Bahrami, lorsqu’il nous parlait des lasers qui se reflétaient dans les yeux des chiens pendant que le public d’un concert de Pink Floyd gueulait en choeur. Vous non plus, vous ne voyez pas très bien ce que je veux dire. Pas grave.

Hier soir, j’ai redécouvert sur une vieille cassette, les prouesses de Jethro Tull (du nom d’un fermier inventeur du plantoir à grain au 18ème siècle) en live, Dharma for one et By kind permission of, du plus pur plaisir. Rien ne m’évoque plus les virées normandes avec Yan, les petits déjeuners à 05 heures du mat’ et la supercinq enlisée dans le sable de la grève de Cabourg….

Hier soir, quand je suis passé sur le pont d’Argenteuil, la Seine refoulait déjà une terrible odeur de poubelles et de rats crevés…

Terrible déjeuner: je ne suis qu’un pauvre con, un idiot de la pire espèce. Le rayon de soleil s’en est allé et désormais, tout est terminé. Je vais rester comme un abruti dans mon coin, isolé, meurtri. Je fais une pause.