Imaginons quelques instants une maison de rêve en temps de crise… Pas forcément évident. Non ici ce sont plutôt des habitats après saisie, des lieux ravagés par la justice aveugle. Le dénuement dans sa plus simple expression. Un projet de T.J. Proeche, heureusement entouré d’autres choses…
Cet ouvrage, fabriqué en Bohême tchèque, est considéré comme le manuscrit médiéval le plus volumineux du monde : 624 pages, 1 mètre sur 50 centimètres, 75 kilos. Selon la légende, un moine, condamné à être emmuré vivant pour un péché, avait promis de réaliser cette Bible en une seule nuit pour expier sa faute. Face à l’étendue de la tâche, il sollicita l’aide du diable, et en glissa par reconnaissance un portrait dans le manuscrit, d’où son nom. En 1648, à la fin de la guerre de Trente ans, l’ouvrage fut saisi par les Suédois à titre de butin de guerre. Il est depuis consultable à la Bibliothèque nationale de Suède. Source Télérama.
Ici, d’étranges fortifications au beau milieu de l’Océan, plantés dans l’estuaire de la Tamise. L’auteur des photos nous gratifie de ce lien vers cette vidéo qui en dit beaucoup plus. Ainsi que ce texte écrit sur Utata.
– ach ja “le” justice est toujours aveugle 😉
– “d’où son nom” – qui est ?
– je dois être très très fatiguée, parce que j’ai lu “’étranges fornications au beau milieu de l’Océan”… Et c’est marrant cette façon que tu as de toujours mettre une majuscule à océan, comme une personnification, une déification…
– 1 :p
– Ah ben c’est dit dans l’article: La bible du diable…
– Fabienne, j’ai effectivement écrit “étranges fornications au beau milieu de l’Océan” 😀
Si je mets une majuscule, c’est parce que pour moi il fait partie des grands principes de ce monde, comme l’Homme, ou la Terre…