Un photographe qui dure, qui s’étend dans le temps et que l’on voit au travers des années depuis les 70’s avec ses photos d’emblée démodées, et qui présente sur son site un panorama énorme de son œuvre. Des tonnes de clichés sur l’Amérique décharnée et aussi naturelle qu’une boîte de thon, et des archives impressionnantes, malgré une navigation digne des débuts du web et pour le moins assez peu pratique. John Divola, une photographie de la désolation et de l’isolement.
2 Replies to “John Divola”
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le thon c’est bon
(oui je sors)
oui c’est bon, mais le thon blanc, c’est excellent