Me ferme les yeux et m’endort,
envie de plus rien,
des yeux qui brûlent et la tête pleine de mots
d’idées qui n’ont de vie qu’éphémère
au creux des oreilles et l’odeur du parmentier
dans la lumière un contrejour le soleil et je m’endors
je n’en peux plus
terrassé, pas de mot pour ça
ce n’est rien
un fake d’histoire