Bert Monroy fait partie de ces artistes fortement inspirés par cette Amérique des années 50, si marginale et si “pittoresque”, mais il a quelque chose en plus. Il n’est pas photographe, pas du tout, mais il est peintre, un peintre hyperréaliste, dont le travail est absolument bluffant et criant de vérité. Via Otomano.
6 Replies to “Bert Monroy, le trompeur”
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mouais, de la peinture numérique… c’est joli mais bon, j’aurais trouvé ça plus intéressant si ça avait été “simplement” de la photographie
La prouesse réside quand même dans la technique, et puis ça donne un petit côté imaginaire non ?
A l’heure de la photo numérique oui, c’est réellement bluffant… ça me rapelle un de mes profs des beaux-arts qui était illustrateur hyperréaliste pour la pub. A l’époque on ne savait même pas ce qu’était un Mac… (oui j’ai un certain âge) tout au pinceau, martre n°2 et aérographe ! Je me demande ce qu’il est devenu ?
A mon sens, il s’est installé à Mountain View 😉
Romuald > non, pas à mes yeux. je croche pas du tout sur la peinture numérique, sorry
Ben, c’est pas grave, je t’aime quand même 🙂