C’est en ayant connu une certaine profusion qu’on peut avoir le désir de dénuement. Je commence à comprendre ce que veux réellement dire le terme de mortification objective.
10 Replies to “Minima”
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mortification, carrément ?
perso, j’ai un penchant pour sobriété volontaire, ça peut donc mener si loin…
ps : les courts-circuit sont terribles sur ce blog, on fouille, on se perd, on s’y piège
Oui mortification, mais finalement, ce n’est pas grand-chose. Ce n’est qu’un état de la chose.
c’est vrai que “mortification” implique une douleur, un côté maso, alors que la sobriété ou le dépouillement évoque une attitude, presque une vertu, qui m’est plus familière, apaisante.
Douleur non, il y a une dimension humiliante dans la mortification, dans le sens de l’humiliation de l’objet, quelque chose à destituer…
juste une association d’idées
http://www.flickr.com/photos/tags/SANKAI+JUKU/
(n’essayons pas de faire ça ce week-end, sans entrainement, on se retrouverait flottant inanimé dans l’estuaire de… du Leguer pour moi !)
Ah oui, c’est un peu violent tout de même 🙂
http://www.flickr.com/photos/tags/SANKAI+JUKU/
pétard, j’ai mis + de 5 minutes à rater ma balise lien html, fortiche & incorrigible. en fait, je sais bien faire que l’italique…
oui, Romuald, ce sont les images de spectacles de butô par la compagnie Sankai Juku qui me viennent à l’esprit quand on parle de désir de dénuement & mortification
Je découvre je découvre o_O
pour le plaisir des yeux,
la torture des sens…
http://pa.photoshelter.com/c/dance-photos-gallery/search?I_DSC=sankai+juku&I_DSC_AND=t&_ACT=search