Adrien Missika et Louis-Cyprien Rials

J’aime cette idée que la culture est une flèche que l’on tire, que l’on ramasse et que l’on retend sur l’arc, de manière à perpétuer le mouvement. C’est donc à la suite de mon précédent billet sur les Kōban (交番) que je vous emmène chez Adrien Missika et Louis-Cyprien Rials.
Le premier est né à Paris et vit à Genève où il a fait des études de photographie. Son travail est assez éclectique mais révèle un traitement de la couleur et de la lumière assez particulier que l’on identifie aisément d’une série à l’autre. Beaucoup de très bonnes choses.

Adrien Missika

Le second, on n’en sait pas beaucoup sur lui, si ce n’est qu’il adore les ruines et la ville dans ce qu’elle a de tentaculaire et de ténébreux, les horizons et les lieux déserts.

Louis-Cyprien Rials

2 Replies to “Adrien Missika et Louis-Cyprien Rials”

  1. j’aime beaucoup les photos d’Adrien Missika – on dirait de la peinture à l’huile pour certaines

    la série “a day under the new sun” de Rials me fait penser aux images des essais nucléaires, à la lumière juste après l’explosion atomique, avant la formation du champignon

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