Non, il n’est pas question ici de ce projet qui désormais fait partie des lettres mortes, mais du texte lui-même. Il se trouve que ma bibliothèque a rouvert ses portes après quatre mois de travaux, et j’ai donc pu emprunter à nouveau ce petit livre, cet introuvable de Jack London.
Ayant mal lu les indications notées sur le livre, j’ai enfin compris la raison pour laquelle on ne le trouve nulle part. Il a été distribué en cadeau aux abonnés du magazine Lire en je sais plus quelle année. Je sais que ce sont des choses qui ne se font pas, mais si je livre aujourd’hui ce texte que je me suis amusé à scanner ce matin, c’est uniquement parce que je trouve que ce serait dommage de ne pas faire profiter de ce texte à des gens qui aiment London et qui ne pourraient se procurer le livre. Ambiance portuaire, Corto Maltese et barriques de rhum…
Ecrit en 1911 et publié pour la première fois dans le Saturday Evening Post. Télécharger le zip